Perséphone

Perséphone (vue d'artiste par J. Matese)

image d'une planète hypothétique
Caractéristiques orbitales (Époque J2000.0)
Demi-grand axe	?
Aphélie	30 000 ua ? km
Périhélie	50 000 ua ? km
Circonférence orbitale	?
Excentricité	?
Période de révolution	5 millions d'années d
Période synodique	?
Vitesse orbitale moyenne	?
Vitesse orbitale maximale	?
Vitesse orbitale minimale	?
Inclinaison	?°
Nœud ascendant	?
Argument du périhélie	?
Satellites	probable
Caractéristiques physiques
Rayon équatorial	1, 04 Jupiter km
Rayon polaire	?
Périmètre équatorial	?
Superficie	?
Volume	?
Masse	∼3jupiters kg
Masse volumique moyenne	?
Gravité à la surface	?
Vitesse de libération	?
Période de rotation (jour sidéral)	?
Vitesse de rotation (à l'équateur)	?
Inclinaison de l'axe	?
Albédo moyen	?
Température de surface	Min.  : {{{temp min}}} Moy.  : {{{temp moy}}} Max.  : {{{temp max}}}
Caractéristiques de l'atmosphère
Pression atmosphérique	{{{pression atmosphérique}}} Pa
Découverte
Découvreur	Matese
Date	1999

Perséphone est le nom donné à une planète hypothétique du dispositif solaire localisée au-delà de Neptune. Elle est aussi officieusement appelée Sol B. ^[1] C'est une des planètes hypothétiques correspondant au terme générique de Planète X.

Son existence fut postulée à la fin du XIX^e siècle sur la base d'anomalies dans l'orbite de Neptune, mais suite aux mesures de la sonde Voyager 2, qui montrèrent que la masse de Neptune avait été mal estimée, il est actuellement admis qu'il n'est pas indispensable de faire appel à une planète supplémentaire pour expliquer l'orbite de Neptune.

Introduction

Depuis la découverte de Neptune en 1846, plusieurs astronomes ont voulu trouver une autre planète, les principaux chercheurs furent William Henry Pickering et sa Planète O mais aussi Percival Lowell. Mais aucune planète ne fut découverte.

Murray et Matese : un nouvel espoir

Une théorie alternative, proposée par John Murray de l'Université Ouverte et John Matese, Patrick Whitman et Daniel Whitmire de l'Université de la Louisiane à Lafayette, propose qu'une planète à peu près 3 fois plus massive que Jupiter se serait fait capturer par le Soleil et se situerait à 30 000 ua. Sa température de surface serait inférieure à -240°C. Cette théorie à été mise en place après avoir trouvé plusieurs comètes mystérieusement perturbées. Cette capture pourrait être confirmée par la théorie des planètes noires : (Ciel et espace)

Origine

D'après le Dr Matese, cette planète ne s'est pas constituée dans le dispositif solaire, elle se serait fait capturer par le Soleil, ce qui veut dire qu'à l'origine, Perséphone est une planète noire (Objet libre de masse planétaire). Sa distance et sa rotation opposées montre qu'elle n'a pas pu être née ici.

Caractéristique

Elle possède (-rait !?) des particularités :

• Rotation inverse (?)  ;
• elle se situe (-rait) dans la constellation du Dauphin (?)  ;
• très massive (>3 Jupiters)  ;
• très éloignée (entre 30 000 et 50 000 ua)  ;
• extrêmement (?) excentrique...

La falaise de Kuiper

La ceinture de Kuiper s'arrête brusquement à 50 UA, comme un mur, au delà, les corps sont extrêmement excentriques, ce qui peut vouloir dire qu'un corps massif bloque la ceinture.

Des satellites

Nous n'avons pas découvert la planète par conséquent les satellites non plus, mais elle devrait en avoir, se situant dans le nuage de Hills ou le nuage d'Oort, il est normal qu'un tel corps puisse capturer plusieurs comètes. Qui plus est Matese et Murray ont pu faire leurs calculs à partir de comètes à l'orbite bizarre, ce qui montre une influence importante sur les comètes, il ne serait par conséquent pas surprenant qu'une grande quantité de corps fassent partie de son cortège satellitaire.

Origine du nom

Même si ce nom n'est pas officiel, il est le plus probable dans le cas de la découverte de l'astre. Perséphone vient de la mythologie grecque, où elle incarne la femme de Pluton. Certains nomment aussi cette planète du nom de Proserpine déesse des romains.

Liens externes

BBC Matese Extrasolar visions (Matese) Site de J. Matese

Solstation Planètes Nasa Space. com

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